Ainsi nommé en référence à un roman de Maurice G. Dantec, Destruction Incorporated navigue entre punk, grunge et Stoner. Et les trois musiciens savent de quoi ils parlent avec des CV à faire pâlir un rockeur : Lofofora, Blackstobres ou encore No One Is Innocent… Réunis dans leur propre studio au cœur de Paris, ils enregistrent dès 2005 leur premier album, « Greatest Hits Vol.1 », avec de nombreux invités : Elliott Murphy, Grégoire Korniluk, Kemar (No One Is Innocent), Laura-May E. Abron… Le concept : enregistrer live des compos ou des reprises à la mode des Desert Sessions de Josh Homme et ses Queens Of The Stone Age. En 2006, l’album est mixé par A. Bascunana (Luke, Deportivo…) et sort enfin dans les bacs. Ce n’est donc qu’en 2007 que le « vrai » premier album du trio est mis en route. Là aussi, la recette de l’urgence est adoptée avec des prises live toujours captées au Destruction Incorporated Studios autour d’un fil rouge : l’histoire d’un tueur en série imaginaire appelé Dogman. Tremblez terriens… Le troisième opus est attendu depuis 2010, année où le groupe est entré en studio. Pourtant, c’est bien avec The Dukes que François Maigret s’amuse désormais.
Fiche technique de Destruction Incorporated Ou : Paris Quand : depuis 2005 Genre : Rock Line up Pierre Belleville (Batterie) – Bastien Burger (Basse, Chant) – François Maigret aka Shanka (Guit, Chant) Albums 2005 : « Greatest Hits Vol.1 » 2007 : « Dogman’s tales » (Enragé Productions)
2 thoughts on “Destruction Incorporated”