Encyclopédie du Rock
Alabrune
Sensuels, frais et charmants. Voilà à peu près les trois qualificatifs qui viennent à l’esprit à l’écoute des chansons d’Alabrune. Quel drôle de nom cependant… Alabrune, Alabreux, Alabrois (sic) ? Cherchez la blonde ? La cousine de BB Brunes ? Non ! Tout simplement « à la tombée de la nuit » pour les amateurs de sémantiques de bon aloi. Douze heures avant potron-minet pour être clair. Résultat : entre chien et loup, Alabrune impose son univers et ses ritournelles qui collent à la peau comme autant de petites mélopées du dimanche matin. Mais attention, rien avoir avec les problèmes existentiels des trentenaires (bientôt quadra…) de la nouvelle scène française. Car, ici tout peut voler en éclat et s’ébrouer comme un bon vieux rock garage. Alabrune sait s’énerver.
Tout commence à Berlin, capitale où Delfine Bocquet poursuit une partie de son cursus d’Ecole de Jazz. Elle s’initie à la composition en français et enregistre le premier EP d’Alabrune avec l’arrangeur allemand Niko Meinhold. Puis c’est un Prix remporté au Tremplin Chorus 2006. Et deux ans plus tard, un second EP… très bien accueilli !
A ranger entre Noir Désir et Ginger Ale
Fiche technique d’Alabrune
Ou : Paris
Quand : depuis 2005
Genre : Pop
Line up
2007 : Delfine Bocquet (Chant) – Vassia Zagar (Basse, Guit) – Emmanuel Mahieu (Batterie) – Stéphane Bertrand (Basse)
Albums
2005 : EP « S/T »
2008 : EP « Alabrune » (Auto production)