Encyclopédie du Rock
Electric Suicide Club
Vitesse et légèreté : voilà qui pourrait bien qualifier le rock débridé d’Electric Suicide Club. Et de cet esprit frondeur et agité, le groupe n’en manque pas sur scène. A 20 ans, ils ont déjà une valise d’anecdotes que n’importe quels vieux briscards du binaire pourraient leur envier. Il faut dire qu’avec 13 pays visités et les premières parties de Datsun ou d’Eagles of Death Metal, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. De leur nuit au commissariat de Nuremberg en passant par la recherche de la fourrière de Brighton pour y retrouver leur Van, le rock’n’roll forge le caractère. Il en va de même de leurs chansons toujours promptes à dégager cette énergie sautillante. Un vrai bonheur à partager sans modération tant leur punk rock garage s’approche de l’essence même du rock : à fond et en deux minutes chrono. L’excellent label Deaf Rock Records ne s’y est pas trompé, signant là un trio authentique et prometteur. En 2012, leur tournée de 43 dates en 45 jours à travers l’Europe a donné lieu à un reportage diffusé en 10 épisodes sur la chaîne Alsace 20.
A ranger entre Teenage Head et Lucid Ann
A suivre sur Facebook et Twitter
A écouter sur Soundcloud
Pendant Electric Suicide Club
Morgan Olveira joue dans Yeahrs
Julien Hermann est membre d’Amoure.
Fiche technique d’Electric Suicide Club
Ou : Strasbourg
Quand : depuis 2008
Genre : Rock
Line up
Morgan Oliveira (Chant, Guit) – Simon Legentil (Basse) – Julien Hermann (Batterie)
Album
2011 : EP « Electric suicide club » (Deaf Rock Records)