Encyclopédie du Rock
The Bonaparte’s
The Bonaparte’s a sévi au milieu des années 80. A l’écoute de leurs deux albums, le quatuor montre une vraie influence de la scène new wave anglaise. Cure en tête. Paradoxale quand les référence à Bonaparte sont aussi nombresues…Et c’est d’ailleurs Lol Tolhurst (synthétiseur de Cure) qui va produire le second opus du groupe « Welcome to the isley of dogs ». The Isley of Dogs faisant référence à un quartier de l’East End londonien, des anciens docks aujourd’hui réhabilités et devenus un véritable second centre d’affaires de la capitale anglaise. Ce même Tolhurst produisant aussi le premier EP des Baroque Bordello où l’on retrouve la même section rythmique que The Bonaparte’s, Gilles Bourgues et Gilles Pradinas.
Tout a démarré très vite pour The Bonaparte’s avec des prestations remarquées au Rex Club à Pars, puis en 1986 au Printemps de Bourges et aux Transmusciales de Rennes. Au total, deux années pleines et entières qui les virent tourner en France, mais aussi aux Pays Bas, en Suisse, en Allemagne et au Danemark. Tout se termine tout aussi rapidement deux ans plus tard, en 1986.
A ranger entre Baroque Bordello et Charles De Goal
Avant The Bonaparte’s
Le groupe Spindle Tongues pour Ruben Azca. Il tournait aussi au sein du duo Kan Ji Zai
Baroque Bordello pour Gilles Bourgues et Gilles Pradinas.
Fiche technique de The Bonaparte’s
Ou : Paris
Quand : 1984 – 1986
Genre : New Wave
Line up :
Ruben Azca (Guit, Chant) – Gilles Bourgues aka Pix (Basse) – Gilles Pradinas aka Prad (Batterie) – Laszlo Kovacks (Sax)
Albums
1985 : « Shiny battles » (Garage Records) – Réédité en 2017
1986 : « Welcome to the isley of dogs » (Garage Records) – Réédité par Rotorelief en 2019