Encyclopédie du Rock
The Red Goes Black
Au départ était Mojo Factory, un groupe de reprises de standards blues, soul et Rythm’ and Blues. Cinq musiciens accompagnés d’un claviériste et d’une section cuivres. Quand tout s’arrête un noyau dur décide de poursuivre l’aventure en interprétant leurs propres compos. Le quatuor The Red Goes Black est né. Ça et leurs divers groupes en parallèle font de cette formation une machine bien huilée au groove impeccable. Leur premier album confirme cette étonnante facilité à faire tourner les morceaux qui mélangent aussi bien la soul crasseuse de la Stax que le son actuel des Black Keys ou l’évident intemporalité des Stones et des Doors. Pour ce faire, ils invitent sur l’album (et aussi parfois sur scène) les claviers de Thomas Schaettel (Roadrunners, Santa Cruz, Miossec…) qui apportent une touche très 70’s, renforçant la le côté psyché de l’ensemble. Si le résultat est extraordinaire sur disque, leurs 150 concerts en 2 ans permettent de vérifier qu’il en est de même sur scène.
A ranger entre The One Armed Man et Last Train
A suivre sur Facebook et sur Twitter
A écouter sur Bandcamp
Avant The Red Goes Black
Pete joue toujours dans Octopus.
Enzo chantait dans Txi Brousse.
Chatter et Tsunam jouent ensemble depuis la fin des années 90, notamment au sein de Billy Bullock and the Broken Teeth.
Fiche technique de The Red Goes Black
Ou : Douarnenez
Quand : depuis 2012
Site officiel
Genre : Rock
Line up
Enzo (Chant, Guit) – Pete (Guit) – Chatter (Basse) – Tsunam (Batterie)
Albums
2015 : “I quit you dead city” (Hold On Music / French Wine Records)
2018 : « Fire »