Les Disques du Yeti – Puces de Saint-Ouen

LES DISQUES DU YETI
Généraliste pop / rock
99% de disques d’occasion
Depuis 2002 aux Puces; 2012 à l’adresse actuelle

Nombre de disques disponibles en magasin
15 000 environ

Prix moyen
Entre 8€ et 12 € avec des collectors tournant autour de 150€
Solde à partir de 1€

 

Le coup de cœur
45t de 1972 de Bernard Chabert. Très rare : 150€
« C’est de l’excellente pop psychédélique. Incroyable même. Il est ensuite devenu journaliste spécialisé dans l’aéronautique. Il collabore toujours à Europe 1 ! Une référence pas très connue encore. Textes modernes, très années 80. Musique années 70. Super production »

Pratique
Les disques du Yeti
Puces de St-Ouen / Flee Market
54 rue Jules Valles – 93400 Saint-Ouen
Ouvert samedi, dimanche et lundi
Tél. : 06 82 02 86 92
Mail : [email protected]

Top 10 du Yeti
1/ Bo Diddley
2/ Gong et toutes ses ramifications
3/ Stella (chanteuse française et non le groupe belge !)
4/ Le couple Beatles / Rolling Stones
5/ Velvet Underground pour la banane…
6/ The Saints
7/ Cramps et Gun Club : inséparables !
8/ Deus
9/ Wowen Hand (un des groupes où joue Pascal Humbert, bassiste de Detroit)
10/ Neil Young… Pour l’ensemble de son œuvre !

Testimonial
« On m’appelle le Yeti. Je ne sais pas trop pourquoi ! A cause du disque d’Amon Düül où à cause de mes cheveux blanc ou de ma corpulence (rire).»

« On est ouvert que 3 jours par semaine aux Puces. Je travaille sur le net le reste du temps. Je sélectionne les artistes que je propose sur Internet : essentiellement de la musique du monde, du folk et du jazz français. On a un réservoir extraordinaire en France de Musique du Monde avec le Maghreb, l’Afrique. Les japonais, les russes et les italiens comptent parmi mes clients. »

« Pour le prix des pièces de collection, je suis le cours du net. Les prix varient. Le prix moyen d’un disque a tendance à baisser. Les pièces de collections augmentent. L’écart se creuse. »

« Je ne vend mes pièces de collection qu’en boutique. Même s’ils n’achètent pas, mes clients voient de belles choses ici. Et on peut discuter ! ».

« En krautrock, les prix grimpent en permanence. Ce n’est pas simplement un effet de mode. C’est une musique qui n’a pas été connue à l’époque aux Etats Unis, très peu en Angleterre et au Japon. C’est une musique de qualité qui a fini par être reconnue. Aujourd’hui il y a une demande. Les Russes s’y intéressent également ! »

« Les éditions originales russes ont été tirés à un très grand nombre d’exemplaires. Ils ne valent pas grand-chose »