Encyclopédie du Rock
Nelson
Les 4 Nelson se rencontrent à l’école du cinéma où ils suivent des études d’ingénieur du son. Un apprentissage sonore qu’ils mettent aujourd’hui au service du groupe en mariant Colder, Noise rock et power pop avec une facilité assez déconcertante. A condition d’être avide de nouvelles sensations musicales, évidemment. A ce titre, Nelson est plus proche de la scène New yorkaise (Liars, TV on the Radio, Grizzly Bears…) que de la jeune scène parisienne (Plastiscines, BB Brunes, The Naast…). Pourtant, un des leurs vient des Parisians… Et puis prendre le nom d’un Amiral anglais qui coula la Royale ne peut que favoriser le mélange des cultures ! Nelson semble en effet être le fer de lance d’une nouvelle scène française « apatride » qui se joue des frontières et surfe sur les rencontres et les contacts internet pour grandir et créer. Et de création, il en est même question côté marketing avec la sortie du second album en 2012 sous la forme de quatre EP disponibles en téléchargement gratuit. Mort de leurs labels français et anglais oblige.
A ranger entre Marquis de Sade et Neïmo
A écouter sur Myspace
A suivre sur Facebook et Tumblr
A écouter sur Soundcloud
Avant Nelson : The Parisian (JB Devay)
Pendant Nelson : En 2008 et 2009, sur scène Thomas Pirot tient la batterie du combo marseillais Narrow Terence.
Fiche technique de Nelson
Ou : Paris
Quand : depuis 2002
Genre : Rock Indé
Line up
JB Devay (Chant, Basse) – Grégory Kowalski (Guit) – David Nicolas (Guit) – Thomas Pirot (Batterie)
Albums
2006 : EP « Bangkok riot » (Diamond Traxx)
2007 : « Revolving door » (Diamond Traxx / Discograph)
2007 : EP « I say you can’t stop » (Diamond Traxx)
2012 : “Dancer runners”