Sidilarsen

Les influences sont nombreuses : Métal, Indus, dub, rock, électro… Un mélange des genres assumé et revendiqué pour Sidilarsen qui en 2000, n’hésite pas à s’associer à Delicatessen et Psykup pour créer le collectif toulousain Antistatic. Après avoir accentué le côté Dance de leur Métal, le groupe livre en 2008 un troisième album très Indus. En 2011, c’est au tour de « Machine rouge » d’être dans les bacs et d’offrir la face rock du groupe. Avec « Dance floor bastard » sorti en 2016, tout est dans le titre côté orientation musicale. Les toulousains dont danser le monde entier (une tournée européenne les conduit jusqu’en Russie) à grand coups de guitares saturées. On dirait même Shaka Ponk parfois.  

A ranger entre Treponem Pal et Silmarils
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Avant Sidilarsen : 9 mm (Benben)

Fiche Technique de Sidilarsen
Ou : Toulouse
Quand : depuis 1997
Site internet

Genre : Métal Indus
Line up
1997 : Sabash (Guit) – Samuel (Batterie, Machines) – Didou (Chant) – Viber (Guit, Chant) – Fryzzzer (Basse, Machines)
2005 : Samuel (Batterie, Machines) – Didou (Chant) – Viber (Guit, Chant) – Fryzzzer (Basse, Machines) – Benben (Guit)
Albums
2000 : EP « Emotion numérique » (Antistatic / Mosaïc Music)
2003 : « Biotop » (Antistatic / M10)
2005 : « Eau » (Active / PIAS)
2006 : Remix « Eau » (Active / PIAS)
2008 : « Une nuit pour sept jours » (New Track)
2011 : « Machine rouge »
2014 : « Chatterbox » (New Track Music / Musicast)
2016 : « Dance floor bastards »
2019 : « On va tous crever » (Verycords)
2024 : « Que la lumière soit » (Verycords)

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