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Encyclopédie du Rock

The Elektrocution

Le rock n’est pas mort, The Elektrocution bande encore. Oui, les rouennais brandissent hauts et fiers les étendards et les fanaux de la démesure rock pour que perdurent sueur, sang et larmes. Des vrais, des durs, des tatoués. Ceux qu’envoient : 1, 2, 3, 4. Et c’est parti !
Pour le reste, rien que du classique dans la vie du groupe : EP, concerts, LP, concerts, notamment avec Tokyo Sex Destruction et Lords of Altamont. Le quatrième opus est en route pour l’été 2010. En attendant, le groupe a glissé un titre (Don’t you run away) sur l’un des cinq CD de la compilation Wagram « I love rock » sortie fin 2007. Voyez, cher Elektrocution, même vos pairs ont fini par vous reconnaître. En 2010, le groupe fête son dixième anniversaire avec un second Long : « Trouble magnet« . L’opus devrait être plus facile à dénicher que le précédent puisqu’il est signé chez Pyromane Records / Discograph. En revanche, c’est tout le groupe qui reste plus que discret depuis 2012.


A ranger entre les Dogs et Classic & Troubles

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Fiche technique de The Elektrocution
Ou : Rouen
Quand : entre 2000 et 2012
Genre : Rock
Line up
Maxime Prieux (Chant) – Antoine Boyer (Guit) – David Grandin (Guit) – Yann Bretey (Basse) – Yves Albuquerque (Batterie)
Albums
2001 : EP “Latin loser” (Auto production)
2003 : EP CD “Vagina Dentata” (Emergence Records)
2004 : EP Vinyl Couleur “Vagina Dentata” (Too mush fish in the sea)
2006 : « Open heart surgery » (Overcome Records)
2009 : EP “Rise to the sun” (Auto production)
2011 : « Trouble magnet » (Pyromane Records / Discograph)

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